Quels sont les effets du fragment HGH 176-191 ?

Sep 10, 2024Laisser un message

L'AOD 9604 stimule la perte de poids par des mécanismes similaires à l'HGH. L'hormone de croissance stimule la libération d'acides gras par vos cellules adipeuses en déclenchant diverses voies cellulaires.

L'hormone de croissance affecte l'activité de plusieurs enzymes appelées lipases qui empêchent la graisse de retourner dans vos tissus adipeux.

Le fragment HGH n'affecte pas la production naturelle de HGH et n'agit pas comme sécrétagogue de l'hormone de croissance. Il n'affectera pas votre niveau de faim et n'augmentera pas votre appétit.

Des études animales comparant l’effet de 250 mg/kg/jour d’AOD9604 et de 1 mg/kg/jour d’HGH pendant 14 jours rapportent des résultats différents chez les souris maigres et obèses.

Chez les souris minces, l'HGH, mais pas l'AOD 9604 ni le placebo, a entraîné une augmentation de la masse corporelle maigre. Il semble donc que le fragment HGH 176-191 ne soit pas efficace pour développer la masse musculaire.
Chez les souris obèses, l'HGH et l'AOD 9604 ont entraîné une perte de poids. Les scientifiques ont signalé une réduction de 40 % du tissu adipeux dans le groupe HGH contre 28 % avec l'AOD 9604.
Contrairement à ce que suggèrent la plupart des sources en ligne, les expériences révèlent que le fragment HGH 176-191 est moins efficace que HGH pour brûler les graisses.

L'hormone de croissance brûle probablement plus de graisse en raison de ses effets sur la résistance à l'insuline. Elle réduit l'absorption du glucose, ce qui oblige les cellules à absorber davantage de graisse. Contrairement à l'HGH, le fragment n'augmente pas la résistance à l'insuline.

Selon des preuves anecdotiques, les avantages de l’AOD 9604 peuvent également inclure de légères améliorations des niveaux de cholestérol et de la sensibilité à l’insuline.
Des résultats préliminaires issus d'expériences sur des animaux ont montré que l'injection du peptide dans l'articulation pouvait stimuler la régénération du cartilage et la réparation du tissu conjonctif. Cependant, les études sur l'homme font défaut.

Actuellement, le peptide est étudié pour son efficacité dans la gestion de la douleur sous le nom de LAT 8881. Cependant, les résultats préliminaires ne semblent pas prometteurs.

 

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